Abel Turcot

1631 – 1687

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C’est en 1631 à Mouilleron-en-Pareds, en Vendéé, que naît Abel Turcot.  Fait intéressant, cette commune est également la place natale de Georges Clémenceau « le Tigre », le fameux homme d’état français.

En 1680, Abel Turcot s’établit à l’île d’Orléans.  Deux ans plus tard, il épouse Marie Giraud au Château-Richer.

Dès 1667, Abel peut se vanter d’être à la tête de l’une des fermes les plus prospères de toute l’île d’Orléans.  En effet, il a plus de cinquante arpents défrichés et quatorze bestiaux dans son étable.

Jusque là, Abel Turcot n’avait agi qu’en qualité de fermier et de meunier de Mgr de Laval. Cette année là, le Vicaire apastolique de la Nouvelle-France lui fait concession d’une des terres que celui-ci défrichait.

C’est là qu’était situé le moulin seigneurial et c’est dans la maison d’Abel Turcot qui appartenant alors au futur évêque de Québec que le missionnaire venait dire la messe avant la construction de la première église de la Sainte-Famille.

Les descendants d’Abel Turcot se sont multipliés sous les noms de Turcot et Turcotte principalement à l’île d’Orléans, sur la côte de Beaupré, sur la Rive sud et dans la Beauce.

Source:  Institut Généalogique Drouin

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